Lisez notre journal ! Huitième numéro : Mai-Juin 2011
Quand la France verse 18 milliards d'euros à l'UE, elle n'en reçoit que 12,4 milliards, d'après les chiffres officiels de la comptabilité publique.
C'est ainsi que la France (c'est à dire nous) donne en moyenne chaque année (et plus les années passent, plus le chiffre augmente !) 5.6 milliards d'euros (5 600 000 000 euros) pour le fonctionnement de l'UE ! C'est à dire l'équivalent d'environ 70 000 logements sociaux qui partent en fumée !
L'UE nous coute cher, très cher, à titre de comparaison bien plus cher que les "régimes spéciaux" de retraite dont les médias maastrichtiens font tout un plat mais dont la suppression ne conduira qu'à une économie de 200 millions d'euros par an (c'est à dire 28 fois moins que ce qu'on offre à l'UE). Bien entendu, ceci se fait au nom de la nécessaire égalité de traitement de tous les salariés donc ça va, il faudrait cependant que "notre" pouvoir maastrichtien supranational pousse la logique de l'égalité jusqu'au bout : les femmes vivent en moyenne 7 ans de plus que les hommes, il est inadmissible qu'elles profitent plus longtemps de la retraite que les hommes donc il faut les faire cotiser 7 ans de plus ! Les cadres et les bourgeois vivent en moyenne beaucoup plus longtemps que les ouvriers, ils devraient donc également cotiser beaucoup plus longtemps au nom de la justice tant recherchée par notre gouvernement qui est comme vous pouvez le constater très attaché à la lutte contre les inégalités (comme c'est touchant !).
Non contente d'avoir confisqué et dérobé au peuple français son pouvoir sur ses terres pour laisser les commissaires européens non élus décider de tout sur l'ensemble des sujets fondamentaux (dont.....les retraites !), force est de constater que l'UE est en plus un véritable gouffre financier......Tiens, y parait que la France est surendettée, en faillite, ah mais non suis-je bête ça c'est le discours qu'il faut tenir pour la destruction de tous les acquis sociaux que nous a offert le CNR gaullo-communiste, pour l'UE y a de l'argent !
Ce double discours en dit long sur la pourriture morale de tous les tenants (ou kapos) du système. Vivement que la France retrouve sa liberté en rompant avec l'Union Européenne, cette dictature ploutocratique qui ne dit pas son nom ! Autrement, croyez-moi, on continuera à se faire enculer.
La preuve est ainsi faite que le processus de construction européenne est purement et simplement la mise en place d’une dictature, qui a l’astuce de se cacher. Nonobstant la volonté de banaliser ce coup de force des uns et les silences complices des autres, il s’agit d’une affaire d’une exceptionnelle gravité.
Dans ces conditions, la question n’est certainement pas de discuter des modalités de ratification d’un traité dont le principe même est un déni de démocratie. Que ce soit par voie parlementaire ou référendaire, aucun procédé ne peut plus légitimer ni ce nouveau traité, ni le statu quo, après le vote souverain et définitif du peuple français du 29 mai 2005.
La seule question légitime à poser désormais aux Français est de savoir si, oui ou non, nos compatriotes acceptent la mise en place de cette dictature.
C’est le devoir de tous ceux qui respectent les principes démocratiques et le droit international, dont la règle supérieure reste le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, d’exiger dès maintenant la sortie de la France de l’Union européenne.
Le Président de l’Union Populaire Républicaine, François Asselineau, détaillera cette position claire à la radio :
lundi 22 octobre de 07h00 à 08h00, Emission le « Grand Témoin » de Louis Daufresne sur Radio Notre-Dame sur 100.7 FM.
L’Europe est un continent. Ceux qui voulaient en faire une structure supranationale cachaient que cela impliquait d’en faire un état. Que cet état devait être celui d’un "peuple européen" pour pouvoir se prétendre démocratique. Problème, il n’y a pas de "peuple européen". Il fallait donc le créer, en faisant en sorte que, préalablement, les européens se détachent de leurs nations, perdent leurs repères, finissent par se détester eux-mêmes pour espérer le salut en une fuite en avant vers un inconnu plus vaste.
Cette manoeuvre devait être subreptice, menée discrètement par une élite capable de s’approprier le pouvoir chacun dans son pays, pour le détruire dans le dos des peuples.
Une élite "d’européens convaincus". Convaincu de quoi, au fait ? Convaincu que c’est leur intérêt personnel de se mettre au service d’un pouvoir supérieur, occulte, qui se fiche comme d’une guigne de "construire" l’Europe, mais qui est très intéressé par la destruction des nations et des démocraties que cette prétendue "construction" implique.
Car en fait, la finalité de la "construction européenne" n’est pas l’Europe, mais la mondialisation. La preuve au CER, (Centre for European Reform) qui travaille déjà sur l’étape suivante, l’ensemble euro-américain. Mais qu’est-ce que la mondialisation, sinon un ensemble de règles supranationales au seul bénéfice d’un très petit nombre pour asservir l’ensemble de l’humanité, en rendant totalement inconséquent les choix procédant des élections ?
Tout cela aurait pu continuer, bon an mal an, à la seule condition que cela fonctionne globalement. Le hic, c’est que ça ne marche pas, mais alors, pas du tout ! La catastrophe écologique qu’il n’est maintenant plus possible d’occulter, la pénurie programmée des énergies fossiles, les logiques économiques, la prise de conscience des peuples, sont, parmi d’autres, autant de faits indéniables qui obligent à constater l’effroyable faillite du système.
Ce qui n’est pas encore politiquement correct, ce qui est encore soigneusement caché par une presse dont la soumission n’a d’égal que sa bêtise, c’est maintenant une lapalissade : quand quelque chose ne marche pas, il faut s’en débarrasser.
L’Europe ne marche pas. La France ne pèse plus en rien sur l’orientation stratégique de l’Europe. L’Europe détruit la France, moralement, économiquement, dans son existence même. La France n’a maintenant qu’un solution : EN SORTIR.
Et il faut que la France en sorte, non pour s’isoler, pour se tenir à l’écart, mais simplement pour renouer avec son rôle historique de nation libératrice de SON peuple et DES peuples. Car il n’y a pas que les Français qui n’en peuvent plus, de cette construction déraisonnable qui soumet les nations d’un continent à une dictature bureaucratique catastrophique. La prise de conscience est aujourd’hui continentale !
CONCLUSION
Les Français ne sont pas les moutons noirs de l’Europe, ils sont les guides, les libérateurs des peuples ! Les Français qui ont votés Non, portant ainsi un coup fatal à cette entreprise dictatoriale de démolition, doivent être fiers d’avoir montré le chemin de la liberté, du respect du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ils doivent maintenant terminer le travail.
Vive la France, vive les nations libres d’Europe et du monde, vive l’amitié entre les peuples !
Dans plusieurs pays d’Europe, de plus en plus de voix s’élèvent pour demander la sortie de l’Euro. Des consultants financiers recommandent maintenant à leurs clients d’envisager sérieusement l’hypothèse. François Asselineau va encore plus loin en en déduisant qu’il n’y aurait pas "d’autre Europe" possible. Voici son analyse :
JC Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, vient d’adresser une fin de non-recevoir à tous ceux qui prétendaient vouloir "améliorer le fonctionnement des institutions européennes".
Monsieur Trichet, élu par personne et dont le passage aux affaires se solde, à l’échelle de deux décennies, par une catastrophe économique et sociale à peu près sans précédent en France, a répondu avec une morgue d’Ancien Régime :"Je défendrai toujours férocement l’indépendance de notre institution". (Au passage, de quoi la BCE est-elle indépendante si ce n’est des élections et du suffrage universel ?)
La demande qui avait été formulée à la BCE par le Luxembourgeois Juncker au nom des ministres des Finances de la zone euro n’était pourtant pas bien méchante. Elle se limitait seulement à "suggérer" une "coopération plus étroite entre la BCE et le club des douze ministres des Finances de la zone euro sur l’évolution de la politique monétaire et économique". C’était vraiment le minimum minimorum. D’ailleurs, les douze ministres n’auraient pas pu tomber d’accord sur une autre demande car les économies de la zone euro sont de plus en plus divergentes et certains veulent une hausse des taux d’intérêt tandis que d’autres exigent une baisse ou un statu quo.
Mais même cette simple demande d’une concertation accrue a été rejetée par la BCE.
Voici donc une information qui devrait - en théorie - clouer le bec de tous les adeptes de la Pensée unique alter-européiste. Je veux parler de tous ces responsables et commentateurs politiques, à droite comme à gauche, qui se croient malins, originaux et audacieux d’affirmer en choeur qu’ils "sont bien sûr pour l’Europe mais pour une autre Europe", qu’ils sont "bien sûr pour l’euro mais pour un euro doté d’une meilleure gouvernance", etc., etc., etc.
Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’expliquer un nombre incalculable de fois depuis des années, et encore une fois lors de ma conférence du 14 juin à la Sorbonne, faire ce genre de déclarations et se proclamer "pour une autre Europe" ne sert à rien d’autre qu’à maintenir nos concitoyens dans la confusion, leur faire croire à des chimères et les plonger dans l’imposture.
Car si l’Europe est comme elle est, c’est parce qu’elle NE PEUT PAS être autrement. La "construction européenne" est la résultante des forces antagonistes qui la traversent. Elle est la résultante d’intérêts nationaux irréductiblement différents. Elle est la résultante de l’inexistence d’un "peuple européen" - différence essentielle avec l’exemple américain que nos diplomates reprennent comme modèle de façon si naïve. Elle est la résultante des visées stratégiques de ceux qui ont inventé ce concept fumeux de "construction européenne".
Les Américains ont conçu ex nihilo la construction européenne et ont largement financé les mouvements et les responsables dits "européens" . Pourquoi ? Parce que les Américains ont compris, dès les années 40, que la construction européenne serait un SYSTÈME AUTOBLOQUANT, dont le seul "élément fédérateur" ne pourrait être que les États-Unis eux-mêmes, pour reprendre la si clairvoyante analyse de Charles de Gaulle dans sa Conférence de presse du 15 mai 1962. Conclusion
Nous y sommes : le système est devenu autobloquant. Trichet renvoie les ministres dans leurs buts et les États n’y peuvent rien car ils ont des intérêts diamétralement opposés. L’Irlande, par exemple, préfère de très loin laisser la bride sur le cou à Trichet et aux autres banquiers de la BCE plutôt que de renforcer le poids politique de la France sur la définition des taux d’intérêt. On peut le regretter mais c’est ainsi.
Quant à tous ceux qui militent pour une "autre Europe" et "un euro avec une meilleure gouvernance" , soit ce sont des rêveurs qui ne connaissent rien à la mécanique infernale de la construction européenne, soit ce sont des cyniques qui mentent délibérément aux Français pour leur extorquer leurs votes en sachant pertinemment qu’ils ne pourront ensuite tenir aucune de leurs promesses.
La seule solution s’impose : la RUPTURE, mais la vraie. La France doit rompre avec les discours gnan-gnan sur "une autre Europe" et la "meilleure gouvernance", tous ces discours foireux et sans conséquences qui font s’écrouler de rire les dirigeants atlantistes derrière les portes capitonnées de leurs bureaux, à Washington, Bruxelles ou Francfort.
La France doit reprendre sa liberté et son destin en mains. Cela commence par une décision fondamentale : la France doit décider souverainement de sortir immédiatement et unilatéralement de l’euro.
François Asselineau, de l'Union Populaire Républicaine (parti gaulliste)
L'UE, sens ou contre-sens de l'Histoire.....Certains en lisant ce sujet pourraient se demander comment la question peut se poser tant il parait évident quand on écoute le discours de l'idéologie dominante que l'UE représente l'avenir, est mère de toutes les vertues.
Il est vrai que les partisans de l'UE n'ont pas de mots assez durs et forts pour qualifier les quelques irréductibles dinosaures qui peuvent se prononcer pour une rupture avec l'UE, les qualifiant tour à tour de passéistes, de réactionnaires, de polpotistes, de fascistes voir de vouloir en revenir au temps d'Auschwitz comme a pu le dire un certain Jack Lang lors de la campagne sur la constitution européenne.......En étant aussi malhonnête que lui dans les amalgames, on pourrait signaler que Hitler était un europeiste convaincu.
Laissons Monsieur Lang à ses délires et posons-nous la question suivante : le mépris affiché par les partisans de l'UE est-il révélateur de la puissance de leurs arguments en faveur de l'Europe ou au contraire n'est-il que poudre aux yeux et révélateur d'une époque décadente dans laquelle la politique n'est plus envisagée comme un moyen de choisir et de décider, dans laquelle les élus en sont réduits à faire de la figuration comme de vulgaires gagnants d'un concours de beauté ?
Les arguments des partisans de l'UE
En régle générale, les arguments des partisans de l'UE sont essentiellement de deux ordres :
-L'UE aurait permis la croissance économique, vouloir sortir de l'UE conduirait ainsi à la ruine du pays concerné voir à la réapparition de la peste et du choléra.
Souvent, pour démontrer les bienfaits de l'UE, les européistes prennent dans un premier temps l'exemple d'Airbus. C'est pourtant dans les faits un parfait contre-exemple, non pas qu'Airbus n'est pas une réussite mais plutot qu'il est une création des états britannique, français et allemand décidée avant l’entrée du Royaume-Uni dans la CEE. L'UE n'a ainsi rien à voir dans cette affaire.
Les européistes expliquent ensuite que sortir de l'UE reviendrait à vivre en autarcie et conduirait à la ruine économique.
Je répondrai tout d'abord qu'il faudrait l'expliquer à certains pays qui ne sont pas dans l'UE et qui présentent une bonne santé économique : on peut citer l'exemple de la Norvège, pays qui réussit l'exploit de cumuler plus d'impots que la France, moins de chomage, une plus grande richesse par habitant tout en étant hors de l'UE. Nous pouvons aussi citer les exemples de la Suisse - il est vrai bien aidée par les transferts bancaires de Johnny Halliday - voir de l'Islande.
Je répondrai ensuite qu'il n'y a aucun lien entre le fait d'être contre l'UE et favorable à une politique autarcique. C'est ainsi que certains économistes ou analystes pro-européens tels que Jacques Sapir ou Emmanuel Todd remettent en cause l'intégrisme libre-échangiste en se disant favorable à un protectionnisme moderne européen. A l'inverse, d'autres qui sont anti-européens peuvent être favorables au libre-échangisme.
-L'UE aurait permis la paix en Europe
L'argument de la paix régnant en Europe grace à la construction de l'UE est une vaste plaisanterie. La vérité est que la paix en Europe de l’Ouest depuis 1945 est due au fait que la France comme la RFA sont devenues après 1945 des puissances de second rang n'ayant aucun intérêt à entrer en guerre, surtout que l'appartenance à l'OTAN signifiait qu'au cas où un pays attaquait l'autre tous les membres de l'OTAN devaient assistance au pays agressé.
Si on ajoute que :
-la France a par la suite acquit l'arme nucléaire
-la France et l’Allemagne se sont combattues à l'époque pour être la première puissance européenne et mondiale ce qu’elles ne peuvent plus être depuis 1945
On se rend compte que l'UE n'est pas à l'origine de la paix en Europe, d'ailleurs l'Histoire nous a bien montré que ce ne sont pas les traités qui conduisent à la paix. Pour rappel en 1927, le pacte Briand-Kellogg proclame la guerre hors-la-loi, on sait ce qui arrivera 12 ans plus tard.
Loin d'être des paroles d'Evangile, nous constatons que les arguments des partisans de l'UE ne dépassent guère le niveau du bac à sable. Ceci étant dit, cela ne signifie pas que les arguments des anti-européens soient toujours beaucoup plus brillants. Souvent les anti-européens expliquent que toutes les difficultés économiques rencontrées par la France sont dues à l'UE ce qui est à mes yeux absurde. Je pense au contraire que la situation économique serait quasi-similaire si la France avait été dans l'UE ou hors de l'UE, aucun économiste sérieux ne pourrait me contredire.
On pourrait ainsi se dire qu'a priori, peu importe que la France soit dans l'UE ou hors de l'UE si les incidences économiques sont beaucoup plus faibles qu'on a coutume de le penser, mais d'autres paramètres allant dans le sens d'une nécessaire rupture avec l'UE doivent être pris en compte.
Pourquoi sortir de l'UE ?
James Paul Warburg, président de la Chase Manhattan Bank, déclarait la chose suivante devant le Sénat américain le 17 février 1953 : "De gré ou de force, nous aurons un gouvernement mondial. Sera-ce par conquête ou par consentement ? La supranationalité d'une élite intellectuelle est certainement préférable aux décisions nationales qui se pratiquent depuis un siècle".
En juin 1991, David Rockefeller reprenait à son compte cette affirmation qu'il complétait en disant que "Le monde est préparé à marcher vers un gouvernement mondial".
Nous remarquons bien que la marche forcée vers l'Europe supranationale et fédérale s'inscrit dans la volonté de la finance transnationale de controler la destinée des peuples sans qu'ils aient leur mot à dire. Nous savons également que la démocratie n’est pas indéfiniment élastique et donc que plus on l’étend à de grandes superficies et populations, plus elle devient l’affaire de professionnels bénéficiant de moyens financiers élevés et dont les opinions se recoupent.
La sortie de l'UE obéit ainsi à un impératif de défense de la démocratie. Je considère, en bon patriote, qu'il est inadmissible que des instances supranationales imposent des règles en matière d'économie, de fiscalité, de santé publique,.... aux peuples sans leur demander leur avis. Chaque peuple doit pouvoir déterminer son propre avenir sans subir les pressions ou les ordres venus de l'extérieur, c'est là l'ABC de la démocratie. Ceci est valable pour le peuple français et pour tous les peuples du Monde.
L'UE, du fait de son opacité, du fait que son exécutif est non-élu et (peut-être surtout) du fait que les peuples divers qui la composent ne peuvent avoir les mêmes aspirations (certains peuvent préférer le libre-échangisme, d'autres le protectionnisme,.....les exemples peuvent être étendus à tous les sujets sur lesquels l'UE veut imposer une vision unique), ne peut pas être le cadre dans lequel s'exprime le mieux la démocratie.
Je pense que c'est encore la Nation qui constitue le moins mauvais terrain pour que s'exprime la volonté populaire, donc la démocratie. Etant un fervent démocrate, je ne veux pas voir un Empire en construction confisquer la volonté populaire de la mosaique de peuples qui le compose.
Pour finir, notons que seuls les patriotes, qu'ils soient dit de gauche ou de droite, ni de gauche ni de droite, du FN, gaullistes, républicains de gauche,.....s'inscrivent dans cette logique de défense de la démocratie, veulent redonner un vrai pouvoir de décision au peuple en se prononçant pour la rupture avec l'UE. Ce n'est absolument pas le cas des partis mondialistes qui veulent imposer à toute l'Europe le libéralisme (UMP, UDF,....) ou le socialisme (partis de gauche) sans se soucier nullement du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes hérité des philosophes des Lumières.
Pour reconquérir la souveraineté nationale et populaire, pour reconquérir la démocratie, rompons avec l'UE !
Rejoignez Socialisme&Souveraineté
socialismesouverainete@yahoo.fr
Socialisme et Souveraineté est une organisation créée le 11 Novembre 2009. Les articles publiés avant cette date sont conservés à titre d'archives, mais ne réflètent pas nécessairement la ligne du mouvement. Toute remarque courtoisement exposée sera bienvenue.