Les criminels sèment la terreur

Dimanche dans le RER D, un homme de 44 ans d'origine turque, Thierry Dève-Oglou,  a massacré de 30 coups de couteau Anne-Lorraine Schmitt, une jeune étudiante en journalisme de 23 ans.

Cet homme est un récidiviste : il fut condamné par le passé à 5 ans de prison dont 2 avec sursis pour agression et menace avec arme.

Avec le laxisme qui règne dans notre société où le droit et la parole des voyous comptent davantage que les victimes, nous pouvons nous demander si ce monstre ne pourra pas ressortir d'ici une vingtaine d'années pour recommencer un tel crime.

La question ne se poserait pas si nous vivions dans une société normale qui aurait pour but d'assurer une véritable sécurité au peuple, dans laquelle les voyous seraient traqués jusque dans leurs chiottes et menacés par des fortes peines dissuasives : par exemple pour un meurtre, la peine de mort ou un séjour éternel dans un camp de travail avec 14 heures par jour consacrées à casser des cailloux pour le compte de la collectivité sembleraient appropriés.

Les voyous (les "jeunes" dans le langage des médias dont les propriétaires vivent dans des quartiers huppés ultra-sécurisés) qui sèment la terreur son également rois à Villiers-le-Bel.

Pretextant la mort tragique mais accidentelle de deux jeunes qui ont foncé dans une voiture de police suite à une infraction au code de la route, des hordes de barbares ont décidé de nous jouer un "remake" des émeutes de novembre 2005 en cassant et brulant des voitures et d'autres biens publics ou privés, en tabassant du flic et du pompier.

Ces voyous se permettent tout car ils savent pertinemment qu'ils ne risquent que des peines mineures suite à ces actes gravissimes, qu'ils bénéficieront toujours de l'indulgence des bourgeois bien-pensants qui n'ont pas à subir directement leur violence et de la sympathie de la "gauche" et de l'extrème-"gauche" qui voyent dans ces crimes des "révoltes populaires" là où Marx et Engels (qui devraient être des références pour des gens de gauche) condamnaient clairement ce lumpenprolétariat assimilé à de la racaille que les ouvriers devaient combattre.

Là encore, si nous vivions dans une société normale - c'est à dire une société dans laquelle ce genre d'individus ne seraient pas relachés au bout de 24 heures de garde à vue mais auraient l'obligation de rembourser leur dette à la société par des travaux forcés d'intéret général d'une durée proportionnelle au montant des dégats causés - tout ceci serait bien vite éradiqué.

Si des peines justes et sévères étaient appliquées, la peur changerait enfin de camp ! Assez de ce "politiquement correct", de cette idéologie des "droits de l'homme" qui ne sert qu'à protéger le droit des criminels et à bafouer celui des victimes ! Il est enfin temps de protéger par tous les moyens les petites gens qui en ont plus que marre de vivre la peur au ventre à cause de la lacheté du bourgeois moderne qui - non content de les envoyer dans des banlieues où règne l'insécurité - n'hésite pas bien souvent à les traiter de "beaufs racistes".