24 septembre 2007
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Une nouvelle fois, ce gouvernement de l'Anti-France récupère et met à l’honneur ce qui se fait de pire dans notre pays : après Kouchner, Lang, Strauss-Kahn, voici que Gabriel Cohn-Bendit vient de se voir confier une mission par Darcos : constituer des équipes de pédagogues volontaires pour travailler dans les collèges des banlieues déshéritées, qui vont être désertés, grâce à la suppression de la carte scolaire à la rentrée 2008.
Gabriel Cohn-Bendit est tout simplement le frère de "l'anarchiste allemand" Daniel Cohn-Bendit et partage exactement le même parcours que ce dernier. Un sinistre parcours dont la seule constante politique aura été le mépris de la France et l'anticommunisme. C'est ainsi Daniel Cohn-Bendit qui a proclamé, sans la moindre honte, que "pour faire l'Europe, il faut défaire la France". Ce qui n'est pas surprenant, les étudiants communistes des années 70 qui affrontaient l'arrogance, les leçons de marxisme, la morgue fanatique, l'anticommunisme passionnel de Daniel Cohn-Bendit, de son frère Gabriel et de tous les Zorro d'amphithéatres dans leur genre savaient d'avance que ces ultra-révolutionnaires de bonne famille finiraient par sa vautrer dans l'idéologie libérale-libertaire. L'unique fil conducteur de leur engagement aura été de combattre sans relache la classe ouvrière, hier en l'accusant de ne pas vouloir la révolution immédiate, aujourd'hui en accusant les travailleurs d'être euro-sceptiques (c'est à dire dans leur langage "fascistes") et de freiner les contre-réformes mondialo-libérales.
Ce gouvernement de l'Anti-France, qui supprime des postes de profs à la volée, va donner carte blanche à un homme qui méprise la France depuis toujours, un libéral-libertaire qui hait la République et ses valeurs. A défaut d'être réjouissante, cette décision suit une certaine cohérence.
Les pédagogues se félicitent naivement de cette mission sans voir que ce sont les autres élèves, les autres classes, les autres professeurs, les autres parents, qui vont payer, au sens propre comme au sens figuré, les moyens donnés à cette minorité. Pour faire des groupes de 15 à 18, sur le modèle finlandais de la réussite, pour quelques centaines d’élèves, ce sont des milliers qui vont être entassés à 30, noyés dans l’hétérogénéité du collège unique. Quel beau projet républicain, égalitaire et citoyen.
Gabriel Cohn-Bendit est tout simplement le frère de "l'anarchiste allemand" Daniel Cohn-Bendit et partage exactement le même parcours que ce dernier. Un sinistre parcours dont la seule constante politique aura été le mépris de la France et l'anticommunisme. C'est ainsi Daniel Cohn-Bendit qui a proclamé, sans la moindre honte, que "pour faire l'Europe, il faut défaire la France". Ce qui n'est pas surprenant, les étudiants communistes des années 70 qui affrontaient l'arrogance, les leçons de marxisme, la morgue fanatique, l'anticommunisme passionnel de Daniel Cohn-Bendit, de son frère Gabriel et de tous les Zorro d'amphithéatres dans leur genre savaient d'avance que ces ultra-révolutionnaires de bonne famille finiraient par sa vautrer dans l'idéologie libérale-libertaire. L'unique fil conducteur de leur engagement aura été de combattre sans relache la classe ouvrière, hier en l'accusant de ne pas vouloir la révolution immédiate, aujourd'hui en accusant les travailleurs d'être euro-sceptiques (c'est à dire dans leur langage "fascistes") et de freiner les contre-réformes mondialo-libérales.
Ce gouvernement de l'Anti-France, qui supprime des postes de profs à la volée, va donner carte blanche à un homme qui méprise la France depuis toujours, un libéral-libertaire qui hait la République et ses valeurs. A défaut d'être réjouissante, cette décision suit une certaine cohérence.
Les pédagogues se félicitent naivement de cette mission sans voir que ce sont les autres élèves, les autres classes, les autres professeurs, les autres parents, qui vont payer, au sens propre comme au sens figuré, les moyens donnés à cette minorité. Pour faire des groupes de 15 à 18, sur le modèle finlandais de la réussite, pour quelques centaines d’élèves, ce sont des milliers qui vont être entassés à 30, noyés dans l’hétérogénéité du collège unique. Quel beau projet républicain, égalitaire et citoyen.